GlassWorlds - Homages to Philip Glass
Nicolas' Press Reviews
ResMusica (11 Mars 2013) par Nicolas Mesnier-Nature. Note: 5/5 – A Emporter
Le pianisme sûr de Nicolas Horvath, remarqué par Leslie Howard, grand lisztien encyclopédique, réussit à construire un ensemble cohérent de ce qui aurait pu virer en mosaïque déstructurée. Des multiples facettes de cette fresque religieuse en ressort une musicalité générée par une aisance certaine à rendre nettes les parties chargées du texte et à éviter de remplir inutilement de son les plus volontairement dépouillées. Un travail intelligent qui sort du quotidien destiné aux lisztiens avertis..
Diapason (Avril 2013) par Laurent Marcinik. Note: 4 Diapasons
Sens du récit, pédale économe, richesse de la pâte sonore et caractérisation intelligente des différents plans. Rien à redire aux rafales terrifiantes de la tempête du Miracle, ou au chromatisme titanesque de Tristis est anima mea, qui convient beaucoup mieux à la personnalité de Horvath. Coup de chapeau pour l'hymne O Filii et Filae conclusif, antipianistique au possible mais tendrement suggéré ici. Un artiste à suivre.
Fanfare (July 2013) par Jerry Dubins
Horvath’s playing is simply jaw-dropping. His dynamic range knows no bounds—you won’t believe it’s possible for one pianist playing one piano to make sounds like this—and there are moments where you’d swear that Horvath has to have more than 10 fingers. But he’s by no means all glitz and no substance. He penetrates and illuminates the quiet, contemplative passages with the intensity of a highly focused beam of light. The recording has to be one of the most phenomenal piano recordings I’ve ever heard. This is not the sort of music or program that ordinarily shows up on my annual Want Lists, but this one might just be an exception. Urgently recommended.
Philadelphia Citypaper (26 decembre 2013) par Peter Burwasser #7 Top 10 classical albums of 2013 Liszt reduced his massive oratorio on the life of Christ to solo piano. For some reason, it is rarely performed, but it is a quietly powerful masterpiece. French pianist Horvath makes it sing. Fanfare (July 2013) par Colin Clarke This disc offers a unique contribution to the discography: more, it is a musical triumph.
Audiophile Audition (03 Juin 2013) par Gary Lemco Note : **** Rifle with wonder and mystery Pianist Nicolas Horvath realizes Liszt’s monumental Christus oratorio as an eight-movement cycle of religious devotion and keyboard wizardry, always in epic proportions.
Classical-Modern Music Review blogsite (31 Juillet 2013) par Grego Applegate Edwards
The end experience is quite moving and orchestral in breadth and expanse. Nicolas Horvath handles the music with all the versatility, sensitivity, passion and technical heroics the music requires. It's most definitely a revelation to hear the complete eight-part piano version performed in its entirety. And Horvath triumphs in so doing! Definitely recommended, for all Lisztians, solo piano aficionados and those who want to experience the bridging of romanticism into modernism. Fabulous!
L'Hébdo-Le Comtadin (17 Octobre 2013) par Philippe Gut Cd coup de cœur: Christus C'est une transcription pour le piano de huit des quatorze pièces de cet oratorio que l'on peut entendre sous les doigts d'une dextérité merveilleuse de Nicolas Horvath qui a une connaissance approfondie de l’œuvre pianistique de Liszt. (...) Une œuvre singulière, aux sonorités somptueuses, admirablement rendues par un pianiste d’exception.
La Lettre du Musicien (Juin 2013 n°434) « Nicolas Horvath : un oratorio au bout des doigts »
Un enregistrement particulièrement cohérent qui rend justice à cette musique inspirée que Liszt considérait comme l'un des sommets de son art
Changez de disque (France Musique 03 Avril 2013) par Emilie Munera
Grand poème mystique qui représente vraiment le Liszt de la dernière période , on est loin de ce qu'on entend d'habitude, du grand romantisme , là on est plutôt dans l épure avec une musique qui se fait extrêmement moderne par endroits. Cette œuvre est connue Nicolas Horvath en a donc tiré trois extraits inédits Choix audacieux, très intéressant fait par ce jeune pianiste, trois morceaux restés inédits. Pas le Liszt le plus facile, peut être plus pour les initiés. Et c'est l'occasion de découvrir Nicolas Horvath.
Fanfare (September 2013) par Peter Burwasser
The apparently simplistic construction conquered me with stealth beauty. I’ll give Horvath, a very fine young French artist, a good share of the credit for his ability to portray an almost naïve sense of awe in the music, which can seem both child-like and wondrous.I did end up listening to the original full choral version of Christus (the Rotterdam/Conlon performance). I am glad to come to know this strangely beautiful work, but, somewhat surprisingly, it did not reduce my affection for this solo piano version, which I find to be mysteriously bewitching. If this were an LP, I would have worn it out by now.
Radio Notre Dame (Mars 2013) par Delphine Freyssinet Disque du mois
Le pianiste Nicolas Horvath présente ici au disque une magistrale version pour piano solo en première mondiale : c’est une découverte passionnante qui permert de suivre et d’approfondir les intentions les plus intimes et le message musical le plus exact du compositeur dans ce cycle musical d’une superbe authenticité tant musicale que religieux. A recommander ...
Lexnews (Mars 2013)
Nicolas Horvath, brillant pianiste particulièrement inspiré par la musique de Liszt et remarqué par le grand Leslie Howard, s’est attaqué à cette œuvre monumentale, pour notre plus grand plaisir, car il n’est pas toujours chose aisée, même avec l’art de Liszt, de donner autant d’intensité à une transcription de 70 minutes en comparaison des trois heures de l’œuvre pour orchestre que l’on a en mémoire à l’écoute de ce disque… Et pourtant le résultat est saisissant, car le pianiste parvient à redonner souffle à une narration ciselée de nuances, où chaque tableau émerveille l’oreille autant que l’imagination. Nicolas Horvath surprend par cette grande maturité qui lui permet d’insister sur les instants précieux tels ce Chant des bergers à la Crèche digne des plus belles évocations de Lorenzo Costa dans la peinture de la renaissance italienne ou encore ce majestueux Tu es Petrus. Et que dire de ce passage si fort Tristis est anima, une douleur évoquée par les accords graves répétés, avec des accents qui préfigurent les dernières œuvres de Liszt (Nuages gris, Unstern…).
On-Mag (14 Mars 2013 ) par Yvette Laval. Note: 5/5
Au final, de même que Karl Valentin disait que toute pièce de théâtre doit raconter l’histoire du théâtre, de même ce « Christus » pour piano se révèle être, en même temps qu’un oratorio sur le Christ, un oratorio sur l’histoire de la musique liturgique. Et Nicolas Horvath l’a bien vu. La cohérence de ce CD est évidente.
Musical Toronto (13 juin 2013) par John Terauds Nicolas Horvath’s brave journey through Franz Liszt’s Christus
Monégasque pianist Nicolas Horvath is building a career out of making sense of the difficult — be it new music or the later works of Liszt. In his début album issued on the Éditions Hortus label, Horvath does a double-Liszt with the composer’s own piano-solo transcription of his massive oratorio Christus, published in 1872. These transcriptions essentially meld choral and instrumental parts into plenty of work for 10 fingers. There are gorgeous moments when Liszt reaches back to the simplicity of plainchant. There also are extravagant dramatic outbursts with crashing chords and and virtuosic runs. But the bulk of the music is a quilt of meek-and-mild episodes sprung from the composer’s fertile imagination — more noodling than drama. Horvath approaches the music with breathtaking dexterity and gives it momentum wherever he can find some. Here is a pianist with a powerful sense of where his interpretation needs to go.
L’Éducation Musicale (Avril 2013) par Patrice Imbaud.
Superbe interprétation de Nicolas Horvath qui sait laisser place à la musique, ne sombrant jamais dans une vaine et quelconque virtuosité, exaltant par son jeu toutes les facettes de cette partition complexe, véritable parcours initiatique. Tour à tour orchestral ou confident, son piano, toujours juste et expressif, sait respecter les silences et les articulations pour donner à cette œuvre toute sa beauté, parfois aride, et sa transcendance. Un disque rare et indispensable à tous les amoureux de Franz Liszt.
Utmisol (Mars 2013) par Danielle Anex-Cabanis Christus – poème symphonique pour piano Nicolas Horvath, dont on connaît l’engagement pour la musique contemporaine dans laquelle il excelle, monte ici une nouvelle dimension de son talent par un jeu d’une grande richesse. Il alterne douceur et subtilité avec des effets sonores plus amples exigeant une maîtrise technique exceptionnelle, car l’œuvre est complexe, tant Liszt l’a chargée d’un message profond, une sorte de synthèse de tout ce qui est essentiel pour lui. Peut-être même que, même si six chants sont absents, ce condensé a une profondeur plus grande, parce la musique est plus épurée. C’est en tout cas un très bel enregistrement
Piano Addict – Great find
Larkreviews (Février 2013)
Christus is rarely heard in its oratorio form, and this arrangement of eight movements for piano is even rarer. However it draws on Liszt’s lifetime of experience as both composer and believer to bring a subtlety and conviction which in other works can appear bombastic. The simplicity of Pastorale , the might of the Foundation of the Church and the unexpected gentle warmth of the Easter Hymn all seem more persuasive in piano version than the full choral epic.
L'1nvisible (Mai 2013)
Dans ce merveilleux CD, toute la douceur du piano de Liszt nous fait pénétrer par les sens dans le mystère de la vie du Christ. Laissez vous faire: ça file des oreilles tout droit vers le coeur... L'âme est comme soulevée par l'émotion qui se dégage de ce poème symphonique. La foi pénètre aussi par la beauté.
Francis Benoît Cousté (Mars 2013)
De ce monumental poème symphonique en trois parties, retraçant la vie du Christ (Oratorio de Noël, Après l’Épiphanie, Passion et résurrection, 1862-1866), il existait une version pour piano solo, dont voici le premier enregistrement mondial. En huit parties, cette fois: Introduction, Pastorale, Chant des bergers à la crèche, Marche des rois mages, La fondation de l’Église, Le miracle, Tristis est anima mea, O Filii et Filiæ. Merci à l’excellent pianiste qu’est Nicolas Horvath de nous restituer ces pages de haute spiritualité. Sans les ordinaires "effets de manche", propres - chez Liszt - à tant de ses confrères...
Music Broadway World (14 Mai 2013)
French pianist Nicolas Horvath is heard in his recording debut with this fascinating solo piano version of Liszt's monumental oratorio Christus.
Église de Beauvais – revue diocésaine ( Juillet - aout 2013) par Jacques Yvert
Nicolas Horvath, jeune pianiste au talent exceptionnel, réussit à reproduire le dépouillement voulu par le compositeur pour cette fresque religieuse. Cet enregistrement du Christus de Liszt restera sans doute l'une des meilleures interprétation de cette œuvre.
Paulinus (21 Avril 2013) par Christoph Vratz Oratorium für 20 Finger Nun hat der monegassische Pianist Nicolas Horvath dieses Werk in Auszügen in einer Klavierbearbeitung vorgelegt – wer die entsprechenden Gesangstexte vermisst: Sie werden im Beiheft nachgereicht. So klingt das Oratorium in dieser rein instrumentalen Fassung natürlich schlanker, durchsichtiger, transzendenter.